C’est un classique.
Tu présentes un devis. Silence. Puis cette phrase :
“Ah oui, je pensais à moins…”
On ne leur en veut pas.
La communication, c’est visuel, créatif, presque ludique. Alors certains oublient que derrière un visuel efficace ou un site bien pensé, il y a des heures de réflexion, d’ajustements, de stratégie.
Et c’est là que la négociation entre en scène. Voici trois leviers qu’on utilise chez Biglord — pas pour “gratter”, mais pour construire un cadre juste. Pour nous comme pour vous.
Parler en premier, ce n’est pas impoli. C’est stratégique.
On pourrait croire qu’il vaut mieux écouter d’abord. Mais en réalité, celui qui pose la première valeur fixe les repères.
C’est humain : on s’aligne inconsciemment sur ce qu’on entend en premier.
Alors autant ancrer la discussion là où elle a du sens.
Non pas “sur un coup de tête”, mais sur une vraie analyse du besoin, du temps, de la valeur apportée.
Le silence, parfois, parle mieux que nous.
Quand un client hésite, on laisse le temps.
Pas pour mettre mal à l’aise.
Mais pour permettre une réflexion honnête, sans pression.
Un petit moment de pause suffit souvent à sortir des automatismes du “c’est trop cher”, et à revenir à l’essentiel : qu’est-ce qu’on essaie d’accomplir ensemble ?
Le prix vient en dernier. Toujours.
On ne vend pas un chiffre.
On propose un changement, une avancée, une amélioration.
C’est ça, notre vraie valeur.
Alors on commence toujours par le “pourquoi” et le “comment”. Et le “combien” arrive ensuite, naturellement.
Parce qu’à ce moment-là, il a du sens.
Chez Biglord, on ne vend pas du rêve.
On construit des projets solides, qui durent.
Et oui, ça mérite une vraie discussion sur le budget.
Pas un bras de fer. Une collaboration.